Amène ton derrière ici, Zora! (désolé pour le titre...)

Legan l'attendait impatiemment. Ils devaient règler ça.

Elle se déposa brusquement devant Legan et lui afficha un regard qui ne disait décidemment rien de bon.

Il plongea son regard dans le sien.

-Tu arrêtes, c'est compris?

Elle fit quelque tour au tour de lui, mais dans les aires en se servant de ces ailes. Puis s'arreta devant lui et le regarda de haut.

- Pourquoi j'arrêterais ?

-PARCE QUE TU ME POMPES L'AIR! JE SUIS FATIGUÉ DE DEVOIR TOUJOURS SUBIR TES PETITES COLÈRES! J'AI PAS DIT QUE J'ÉTAIS À TOI POUR TOUJOURS! C'EST PAS COMME SI ON AVAIT COUCHÉ ENSEMBLE, MERDE! ALORS TU VAS ME LÂCHER!

Elle leva la tête un instant comme pour faire semblant de réfléchir, naturellement elle blufait, parce qu'elle savait déjà sa réponse. Elle déscendu sont regard sur Legan qui avait l'aire tanné d'elle.

- Non, dit-elle d'une voix calme.

-Alors, là, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase!

Il essayait de se calmer en butant contre une grosse roche.

-Qu'est-ce que tu ferais si j'étais amoureux de quelqu'un?, demanda-t-il, brusquement. Tu vas tuer cette personne? Tu vas tellement être en colère que tu vas lui faire du mal? Si oui, crois-moi que je ne te laisserais pas faire.

- Je ne peux pas te forcer a m'aimer, et je ne peux pas empècher un coeur d'aimer, seulement j'éprouve un étrange plaisir a t'énerver et te mutiler.

-Ah bon... Je souffre déjà bien assez comme ça, alors si tu veux me voir souffrire, t'as qu'à mieux me regarder!

- Est ce que tu saigne ?

-Non. Mais, sache qu'il y a bien d'autres formes de souffrance. Et elles sont tout aussi éprouvantes!

- Je ne suis pas ignorente, sauf j'aime plus sa quand la personne se crispe sous les coups que je lui envoie.

-C'est la même chose! Je me crispe sous les coups que la VIE m'envoie!

- mais elle ne viens pas de moi.

-Justement! C'est dix mille fois pire!

- Peut-être, mais moi je n'y trouve aucun plaisir.

-Tu ne devrais pas dire une chose pareille.

toujours dan les aires elle croisa ces bras.

- Pourquoi dont ?

-Parce que...

Il s'interrompit.

-Oh, et puis tu ne vaut même pas la pein que je te réponde!

- Dit le où je te l'extirpe du cerveau de mes mains !

-C'est pas bien... Mais bon, je crois que tu t'en fiche de ce qui est bien, ou mal.

- Et qu'Est ce qu'il y a de mal a avoir des pensé légèrement sadique ?

-Non, tu as raison... Mais, je souffre bien assez sans que tu rajoutes ton grain de sel... Alors, si tu m'aimes vraiment... Arrête, s'il te plaît...

- Sa tombe mal, je ne t'aime plus

-Alors, lâche-moi.