Ermite...

Tout pres du puis se tenait de dos la jeune femme que liam avait vu quelque semaine plus tot. Elle ne semblait pas avoir remarquer liam.

(LIAM)

- Bonjour... Que me vaut le plaisir de vous revoir une deuxième fois?

-Ah salut...Je pensais pas que tu habitait pres je pensais que setais plus a l'est

"Il me semblait bien aussi..." pensa-t-il.

-Mais je suis heureuse de te revoir...

- Je le suis aussi. Voulez-vous prendre le thé avec moi une fois de plus?

-Avec plaisir! Dit T'elle en le suivant vers la maisonette

Il répéta alors les même gestes que quelqu jours plus tot. Mais elle ammena un tout autre sujet de conversation.

-Euhh....pourquoi est tu couper du reste du monde?

Il détourna le regard et pris une grande inspiration.

- Une femme... finit-il pas souffler.

Lorsqu'elle comprit qu'elle avait toucher uncorde sensible, Dalilah esseya de changer de sujets mais Liam deumeurait lunatique.

(LIAM)

Ça le fesait tellement souffrir davoir une femme proche de lui comme ça... Mais en même temps elle lui apportait un certain réconfort.

Dalilah n'aimait pas voir soufirent les gens

-Bon je pense que je vais y aller, Au revoir...

LIAM

- Non attendez...

elle se retourna et planta son regard dans le sien

(LIAM)

- Ne partez pas... Ne me laissez pas seul...

Dalilah se savait pas vraiment quoi faire: au chateau ses amies l'adendait, mais elle ne voulais pas vraiment lasser liam...

- Je ne vous retiens pas mais... C'est à vous de décider...

Dalilah bessa la tete aucun son ne voulait sortir de sa bouche

ll s'approcha d'elle et relave sa tete.

- Ne faites pas cette tête, la... Le sourire vous va mieux...

Dalilah sourit pour lui faire plaisir et il se regarderrent pendant plusieur minutes sans rien se dirent.

- VOus êtes très belle Dalilah, dit-il dans un souffle.

Dalilah resta muette personne ne lui avait jamais parlez ansi...

Dans ses yeux, elle pourrait maintenant revoir l'éclat de vie de sa jeunesse. L'ermitage l'avait veillit, mais au fond. il n'était vraiment pas très agé...

Dalilah remarqua alors quelque leur visages etait proche, malalaise elle se recula en se demandant se quelle resentait pour lui.